Kiss my neck or ill crush yours || with Nikki

C'était une soirée comme les autres, un moment des plus ordinaires où une figure gracile se faufile dans la foule, ses pas un légers, mais aussi quelques peut énerver de ce qu'il vient de se passé avec l'une de ses connaissances. Ce chier de Tooru, lui demandant de venir le rencontrer pour l'abandonner après juste 30 minutes et lui avoir donner le minimum de son argent de poche en prétextant une urgence au boulot. Chiko s'était fait beau, avait mis des vêtements coûteux pour l'homme et avait même refusé l'invitation d'un autre pour avoir toute la soirée à consacrer au banquier maintenant disparu.

Peut-être que sa maitresse aimerait savoir avec qui son chéri couche...

Uni dans un mariage sans amour Tooru Michige ne sont un couple que sur papier et voit quelqu'un d'autre chacun de leur côté de façon plus discrète...enfin pas assez parce que tout le haut-monde de Tokyo était au courant. Il suffirait à au jeune homme de poser les bonnes questions aux bonnes personnes autour de lui pour avoir le numéro de la demoiselle et lui montrer des conversation très intéressantes et très imagées.

Vous avez un problème pour rester planté là où vous pouvez me laisser passer?

Dans les ombres des ruelles en direction de la gare se dressait maintenant une silhouette que Chiko n'arrivais à totalement distinguer des lumières éloignées et la clarté de la lune camouflée par la lune, mais une chose était sûre: le chemin était trop étroit pour confortablement contourner et pas question de se frotter contre les murs sales, il vaut trop cher pour ça. Peut-être que ce serait quelqu'un qui ramènerais un peu de vie dans la vie de l'éternel insatisfait ou le punching-bag sur lequel il se défoulera, probablement le deuxième, mais on ne sait jamais.

oh putain, ce fils de pute suce bien. t’éjacules dans sa magnifique petit bouche, laissant échapper un gémissant assez sonore. tu t’en fous qu’on t’ait entendu ou non, l’idée qu’on puisse vous surprendre t’excite davantage. tu remontes ton pantalon puis tend son argent au prostitué. il compte soigneusement billet par billet puis lorsqu’il finit il arque un sourcil et te tend de nouveau la main. “j’ai avalé. tu connais déjà le tarif, joue pas au con.” tu soupires, t’as pensé pouvoir y échapper. tu sors quelques billets de plus. il les compte aussi. putain, c’est un tapin ou un banquier, ce mec. le compte est bon, il te sourit de nouveau et t’embrasse. “à la prochaine, babe.” ouais, c’est ça, à la prochaine. il s’en va, sortant de la ruelle, tout en se tortillant du cul. il fait chier à se la péter mais tu vas pas mentir, c’est l’un des meilleurs de sa profession. et il a un beau petit cul en plus. t’allumes une cigarette, ça fait toujours du bien d’en fumer une après un orgasme. tu te demandes ce que tu vas bien pouvoir faire de ta soirée. il te reste plus beaucoup d’argent. ce gigolo a pas sucé que ta bite, mais ton pognon aussi et t’avais déjà dépensé une partie au casino un peu plus tôt. normalement tu devrais rentrer à la maison mais t’en as pas envie. tu veux profiter de ton samedi soir. t’es pas assez ivre pour aller te coucher. encore deux ou trois verres pour voir les étoiles.

une voix irritée te sort de tes pensées. tu tournes la tête et wow! quel beau spécimen! encore plus en étant éclairé par les lumières de la rue adjacente. tu bloques le passage? ton regard fait l’aller retour entre le jeune homme et l’espace entre toi et le mur. il raconte quoi? il y a de la place pour passer. il est pas énorme, le mec. bien sur qu’il arrivera à passer. tu le dévisages de haut en bas. ah, tout s’explique. un bourge. qu’est-ce qu’il fout là? il a du se perdre. en tout cas, s’il continue à marcher dans ces rues habillés comme un mannequin, il va finir par se faire dépouiller, le pauvre. “j’ai aucun problème mais faut en avoir un sacré pour oser se balader habillé ainsi ici.” en plus, vu son attitude nonchalante et son aura ‘je-suis-supérieur’ qui se voit à des kilomètres, il va se faire provoquer puis passer à tabac. certaines personnes n’ont vraiment pas conscience du danger, c’est fou. “mec, tu passes largement, fait pas le difficile et dégages de ces rues. c’est pas pour les mecs de ton genre. fais moi confiance.”

Un problème? Pourtant t'as l'air d'aimer c'que tu vois, tu dois pas en voir des comme ça tous les jours donc c'est plus un cadeau.

Il avait une belle gueule, dommage que le son de la voix de l'inconnu était gâchée par des mots si déplaisants, ça lui hérissait le poil d'entendre ça, comme si on le prenait de haut alors qu'il méritait tout juste d'embrasser ses pieds. Les sourcils étaient un peu froncés, la voix était égale et les yeux du blondinet avaient enfin trouvés les siens, refusant d'être le premier à regarder ailleurs.

Je sais parfaitement où je suis, c'est pas la première fois que je viens ici et c'est pour ça que je veux éviter qu'ils touchent le mur, mais ça tu le sais plus que moi je crois.

Chiko sait pourquoi des gens viennent ici, pourquoi on a donné un surnom qui en laissait peu à l'imagination et ça fait des années qu'il les parcours, pour une raison ou une autre, mais ça l'autre avait pas besoin de le savoir, surtout pas après que l'autre l'ai reluqué.

J'crois pas qu'un mec de ton genre connait le mien, alors va te faire sucer ailleurs et laisse-moi passer merci.

Le précieux était pas le plus massif des mecs, mais il avait plus d'un tour dans son sac, il aimait beaucoup celui de chez Dior qu'on lui avait offert en cadeau et qui reposait sur sa poitrine, et c'était assez pointu pour le débarrasser des mecs et des meufs qui en demandaient trop sans payer à dîner en premier. De toute façon, il était trop têtu et fier pour faire ce qu'on lui demandait, donc même s'il devait rester là toute la nuit pour prouver son point, ainsi soit-il

“ouais et j’ai jamais dit le contraire.” tu rigoles. parce que t’es pas totalement sobre et parce qu’il est drôle ce type. il ne se prend pas pour de la merde et c’est marrant. t’en as connu pas mal des comme ça. des gosses de riche qui pensent qu’ils ont le monde à leur pied. qui s’assoient sur une montagne de billets et pensent que là-haut ils sont sains et saufs. tu ne bouges pas et t’allumes même une deuxième cigarette. il n’y a aucune raison pour que tu bouges. tu ne vas pas céder à ses caprices. et puis quoi encore. “c’est pas ton jour de chance, on dirait. j’ai plus assez de thune pour me faire sucer.” il reste planté là, soutenant ton regard. t’en fais de même. voilà une belle distraction. de quoi faire passer le temps. t’espères qu’il n’est pas pressé. t’as toute la nuit devant toi. t’en profites pour le mater davantage sans gêne, sans prétendre faire autre chose. “t’es mignon mais t’as rien de spécial. pas besoin d’être un génie pour devenir quel genre de type t’es. et puis, relax, tu t’énerves pour rien.” tu lui tend une cigarette. “t’en veux une? si tu comptes rester percher là toute la nuit, je te conseille d’en prendre une.” t’es certain qu’il va la refuser et te sortir un truc du genre ‘je touche rien qui est entré en contact avec tes sales mains’. mais tu insistes. peut-être que si tu lui fais assez chier il finira par arrêter son caprice. tu rapproches la cigarette de sa bouche. “allez, fait pas le con, prend la. je me suis essuyé les mains avant de la toucher, juré!” alors qu’il ouvre la bouche pour surement protester, tu la lui mets dedans puis l’allumes. t’aurais jamais osé faire ça à quelqu’un en temps normal mais l’alcool te fait tout prendre à la rigolade. pour toi, ce n’est qu’un jeu. tester la patience et les limites de ce gars. “t’as vu, c’est pas la mort.”

Chuis sûr qu'il y a une pute pas chère qui serait prête à te la prendre.

Rien de spécial? Est-ce qu'il s'est regardé au moins avant de dire ça? Avec ses vêtements miteux il aurait plus de chances de passer la nuit avec les déchets plutôt que dans un lit et avec l'odeur qui s'en dégageait on était sûrement pas si loin de la vérité que ça. Ça l'enrage la façon dont il parle, qu'il a de se tenir et de ses putain d'yeux qui se promène partout sur son corps comme ça.

Mais, si t'as pas assez pour te faire sucer t'as pas assez pour découvrir les trucs spéciaux, désolé

Chiko hausse les épaules en fermant les yeux pour ne plus voir ceux qu'il a envie de crever, qu'est-ce qui l'empêchait de se défouler maintenant? C'est pas comme si quelqu'un allait pleurer un pauvre type dans son genre, ce serait même une bonne action pour la rue. Le pire c'était qu'on lui demandait de se calmer, c'était vraiment la meilleure de la soirée celle-là, rien allait comme il voulait et voilà qu'on lui riait au nez, mais le pire c'est que l'obsédé lui a glissé une cigarette entre les lèvre en se fichant bien de son avis, là c'était vraiment trop pour ce que les courts nerfs du plus jeune pouvaient en supporter.

Sa paume est partie à grande vitesse et les jointures de Yachiko se sont écrasées sur la joue du satyre de toutes ses forces et se débarrassant de sa main beaucoup trop proche à son goût. Une fois l'horrible odeur un peu plus loin, il sort un briquet de son sac, celui qu'il utilise pour les rares fois où on l'a convaincu de prendre une bouffée, pour voir à quel point point on peut le juger encore plus.

…Merdique, comme toi

Il pourrait au moins se détruire les poumons avec du bon tabac au lieu d'un truc comme ça, les clopes c'est deja cher de base alors faudrait quand même faire un peu d'efforts sérieux là. Chiko fais exactement deux pas vers lui, les sourcils froncés.

La prochaine fois demande avant de faire ça, ok?

À défaut de cracher du venin, c'est de la salive qui file en direction du visage qui lui riait à la figure quelques instants plus tôt avant de reculer pour le voir d'un peu plus loin, les traits déjà plus détendus en prenant sa deuxième bouffée, ça faisait du bien extérioriser sa colère un peu.

tu ne peux pas dire que tu ne l’as pas mérité, celle-là. par contre le crachat dans la figure tu ne l’as pas vu venir. comme un con, au lieu de t’énerver, tu rigoles de nouveau. l’alcool te rend joyeux et débile. t’essuies la salive d’un revers de manche puis craches au sol un mélange de salive et de sang. tu t’es mordu la langue en recevant le coup de poing. il a une sacré droite. le mec allume tout de même une autre cigarette et t’es perplexe. pourquoi il a pas accepté la tienne s’il voulait fumer? ah ouais c’est vrai, il touche pas les trucs des gens comme ‘toi’. c’est drôle, si t’avais continué sur la voie que tes parents avaient tracé pour toi t’aurais fini aussi arrogant et hautain que ce gars. “la prochaine fois demande avant de me cracher dessus. comment tu sais que c’est l’un de mes fantasmes?” tu ne le prend toujours pas au sérieux. tu te prend même pas au sérieux. “tu vois, j’avais raison. ça détend.” tu te laisses glisser contre le mur jusqu’à t’assoir sur le sol qui pue la pisse. mais c'est pas grave parce que tu as vu pire toi. t'as dormi dans des endroits similaires au début. tu crois même immunisé contre les morcures de rats. "je commence à croire que tu apprécies ma compagnie. pourquoi tu passes pas par une autre ruelle?" tu ne lui laisses pas le temps de te répondre et tu ajoutes, "moi, c'est nikki. si tu voulais devenir potes, fallait le dire plus tôt. t'es un tsundere, c'est ça?"

Ferme là sinon jvais te faire découvrir si te faire marcher c'est aussi l'un de tes fantasmes

Les yeux ne le regardent même plus, préférant regarder le ciel vide d'étoiles à cause de la pollution lumineuse de la ville, un peu comme lui ce soir peut-être. Lui qui voulait briller de mille feux ce soir en était réduit à discuter avec un pervers qui était sûrement trop saoul pour lui donner ce qu'il voulait. Vraiment une soirée de merde

Tu serais plus apprécié si t'avais de meilleures clopes, elles puent le chimique c'est horrible.

C'était la vérité, quelque chose de plutôt rare venant de Yachiko, car ce n'était qu'un échange de services et même si l'argent n'était pas en jeu, il y a bien des choses que les gens d'en bas pouvaient offrir que ceux d'en haut avaient du mal à saisir en dépit de leur portefeuille. Le tout était de trouver une balance entre les deux et de savoir choisir avec qui on acceptait de s'afficher. Genre pas des gens qui lui tombait sur les nerfs par exemple.

Pour être tsundere faudrait que j'en ai quelque chose à foutre de toi donc non merci

Et tout personne qui s'attachait à ce truc devait sûrement être à plaindre, mais bon si les ploucs restaient entre eux ça fera plus de qualité pour les autres alors pourquoi est-ce que Chiko s'en plaindrait au fond? Sûrement pour la forme de devoir laisser un morceau comme ça s'échapper, il aurait pû être utile dans d'autres circonstances.

Avant qu'on soit potes Nikki, faudra que t'arrêtes de me traiter comme si j'étais né avec une cuillère en argent dans la bouche et avec un balais dans le cul, pigé?

Ce petit ton qu'il avait là c'était gavant et vraiment le prochain coup va partir sans avertissement si ça continuait comme ça. Au moins il était dans la bonne position: à ses pied et à la parfaite hauteur pour pouvoir le prendre de haut.

J'ai une occasion de me défouler, pourquoi je partirais maintenant aussi? Autant m'amuser comme je peux maintenant que j'ai du temps libre.

“eh ben dis donc, qu’est-ce qui t’as mis dans cet état pour que tu te défoules ainsi sur le pauvre nikki?” tu fais faussement la moue. t’as l’air de plaisanter mais t’es vraiment curieux. n’importe quel autre type t’aurait poussé et continué leur chemin. ce garçon perdait vraiment son temps avec toi. peut-être que tout comme toi il n’a nulle part d’autre où aller. peut-être qu’il recherche aussi de la compagnie mais il est trop fier pour l’admettre. un véritable tsundere! il dit qu’il ne l’est pas mais t’as lu suffisamment de manga pour repérer ce type de personnes. les classiques ‘je m’en fous de toi.’ ‘si je suis toujours à tes côtés c’est pas pour toi, c’est juste que je m’ennuyais, c’tout, va pas croire que je veux passer du temps avec toi.’ , tu les connais pas coeur. mais ce n’est pas un reproche que tu lui fais. les tsundere sont sexy. ce sont toujours les personnages les plus populaires pour une raison. tu dois avouer que son comportement est en quelque sorte attirant. tu relèves la tête, croisant son regard hautain. il a l’air de te mépriser, de te prendre pour un moins que rien. ce regard t’y as eu droit à plusieurs reprises malheureusement. "si tu veux que je te traite autrement, faudrait que t'arrête de te comporter comme tel, non?" il ne te donne pas beaucoup de raison de croire qu'il ne l'est pas.

Si tu commençais par te relever je te traiterais déjà mieux un peu. Et puis bon, avec une gueule comme la tienne dis pas que t'es pauvre, penses à ceux qui dépenses des fortunes dans la chirurgie. Compliment détourné? Peut-être bien et espérons que Nikki s'attendait pas à un meilleur traitement de ta part, c'était déjà assez compliqué pour toi de donner des compliments sans vouloir ricaner ou grimacer de dégout, déjà que t'évitais en général alors faut pas pousser le bouchon trop loin. Essaie de deviner ce qui s'est passé et t'auras droit à ce que tu veux. Tu dis ça dans le vent, jamais tu ne lui donnerais la chance d'en savoir trop sur toi et même s'il te donnait la bonne réponse il te suffirait de répondre "non" avec le sourire et de t'amuser de le voir essayer. Il pensait te connaître comme si t'étais prévisible, mais tu allais lui prouver le contraire, mais s'il arrivait à se relever sans trop tituber ça t'impressionnera plus. Tout allait bien, tout était encore normal jusqu'à ce qu'une valeur incontrôlable ne fasse son apparition. Visiblement, il connaissait Nikki et l'avait déjà fréquenter avant, mais comme une hyène il cherchait à voler ce qui était aux autres pour se faire plaisir. Au fond, n'était-ce pas ce que tu étais? Enfin toi au moins t'étais mieux habillé que lui et sûrement moins de cochonneries.

Comme un scanner, tu scannais le jeune homme vous interrompant pour déceler toutes les failles dans son apparence que tu pourrais exploiter. Pardon? On se croirait dans une scène de série B un peu clichée là on dirait un peu. Chiko avait beau se frotter les yeux, mais le parasite qui avait décidé de se ramener était bien réel, mais en plus le voilà qu'il essayait de mettre le grapin sur ce qui était à toi. Qu'est-ce qui re retenait de lui refaire le portrait à celui qui osait se penser non pas au même niveau que lui, mais au-dessus? Pas grand-chose, surtout le fait que flemme d'inventer un mensonge pour se justifier envers Nikki en fait donc autant éviter de lui en mettre une droite. Ta mère t'as jamais appris qu'interrompre une conversation c'était malpoli ou t'étais trop occupé à sucer ton père pour l'écouter? Tu fais un pas en avant, te mettant physiquement entre les deux pour faire comprendre à son compétiteur qu'il devra aller se vendre quelque part pour trouver de la compagnie, car il était pas question qu'il perde deux fois d'affilée ce soir. C'est pas comme si je pouvais lui donner encore mieux gratuitement. Mots dit avec confiance avec un regard aussi suffisant qu'incisif. Autant c'était vrai et que tu refuserais pas de le faire pour montrer au mec des trottoirs où étais sa place, autant tu regrettais de te couper une source potentielle de revenus, aussi petite qu'elle soit. Avec un peu de chance, Nikki sauterait pas sur le coup, mais franchement tu en doutais.

“chirurgie? nan, moi c’est que du naturel!” t’as à moitié compris ce qu’il a dit et à peine remarqué le compliment qui s’y cachait. t’étais pas en mesure de vraiment comprendre la subtilité là tout de suite. deviner? t’aimes pas deviner. et puis tu doutes qu’il ne te révèle la véritable raison. il aime jouer les mecs mystérieux. tu hausses les épaules, lui faisant comprendre que t’en avais plus rien à foutre du coup. l’un de tes vides couilles -notons qu’il n’y avait pas que tes couilles qu’il vidait mais aussi ton porte-monnaie- fit son apparition. il est visiblement en quête de clients. s’il est venu te chercher c’est qu’il n’y a vraiment pas masse de clients aujourd’hui. t’as pas le temps de le saluer que la tsundere s’emporte contre le prostitué. la remarque est cinglante et même toi, en tant que spectateur, tu grinces des dents. ouch! toutefois tu es surpris de son comportement. n’était-ce pas le moment opportun pour lui de se débarrasser de toi et de s’en aller? oh? as-tu bien entendu? ou est-ce l’alcool qui te joue des tours? monsieur tsundere est possessif. tu crois bien qu’il t’aime, tout compte fait. c’est un classique. “désolé kei, comme tu peux le voir, j’ai déjà de la compagnie. peut-être la prochaine fois.” le gigolo fait la moue puis s’en va. tu te relèves, te servant du mur comme appui. t’affiches un sourire vainqueur. tu fais mine de renifler l’air qui vous entoure. “mais qu’est-ce que c’est? serait-ce de la jalousie dans l’air? ‘pour être tsundere faudrait que j'en ai quelque chose à foutre de toi’ clairement t’en as quelque chose à foutre si tu te préoccupes de l’état de mon porte-monnaie et la qualité des pipes que je reçois.” tu lui ébouriffes les cheveux sachant très bien que tu risquais de te prendre un coup de nouveau. “fais pas cette tête, je trouve ça mignon."

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