ootd } and the perfume was filling your lungs.
as the liquid in front of your mouth was turning.
again and again in the glass.
you let out a sight of pure bordeness.
lente.
beaucoup trop clémente.
alors que tu avais déjà fini ton tour sur la piste.
que ton montant de billet ayant déjà atteint l’objectif que tu te donnais à chaque fois que tu offrais ton corps à leurs yeux.
tu n’étais toutefois pas satisfait.
avide.
chien grugeant sur l’os
on a faim de plus encore alors on s’était installé là.
à cet endroit.
appuyé sur le bord du bar.
à la même place que chaque fois où tu devenais l’achat.
au moment où tu devenais l’appât pour les gros poissons.
et il faut croire que tu n’avais pas eu à attendre longtemps car une voix vint s’adresser à toi.
haussant un sourcils, tournant sur ton siège pour venir poser tes yeux sur ton potentiel client.
visage radiant en miroir, nos regards se croisent alors que tu le détail.
un peu.
pas trop.
tu n’étais pas là pour juger leur apparence.
mais tu as remarqué ses boucles noires et cela te fait sourire.
elles lui allaient vraiment bien.
mais trêve d’observation.
tu n’attends pas plus longtemps et tu l’invite à s'asseoir à tes côtés avant de lui répondre d’une douce voix.
— oh tien un nouveau visage qui me trouve dans la foule. j'espère que personne n'a été vulgaire avec toi, ce sont tous les gorilles ici. que tu dis en faisant un client d'oeil au barman. comme si tu ne travaillais pas ici toi de base. mais dit moi, qu'est ce qui t'amène jusqu'à moi, sweetheart ?