Son Ho Gon - Good cop

J’ai été abandonné à ma naissance et je n’avais même pas de nom ni de prénom. Très vite, j’ai été adopté par un couple de japonais d’origine coréenne qui ne pouvaient pas avoir d’enfant. Lui était dans la police et elle, elle était institutrice. Ils étaient gentils et ils resteront à jamais mes parents dans mon cœur.

J’avais sept ans quand ils se sont fait tuer par des yakuzas. Je n’ai jamais vraiment su ce qui s’était passé. Je ne dois la vie que parce qu’on m’a caché dans un placard. A travers l’embrassure, je les ai vu mourir et de leur assassin, je n’ai vu que son tatouage à la main. Je ne l’oublierais jamais et c’est la raison pour laquelle je suis devenu flic et que j’ai intégré la brigade anti crime organisé. Celle qui est sensée lutter contre les yakuzas.

Après la mort de mes parents, j’ai été de famille d’accueil en famille d’accueil, allant d’un foyer à l’autre quand on ne voulait plus de moi. Je n’étais pas un enfant facile. Je me battais souvent mais uniquement pour protéger les autres ou me défendre. J’ai toujours détesté l’injustice et ne croyait pas que les foyers ou les familles d’accueil sont pleins de gens généreux et altruistes. Beaucoup font ça pour toucher les allocations du gouvernement ou parce qu’ils n’ont pas trouvé d’autre métier.

Je pourrais vous parler toute la nuit et toute la journée de ma vie en orphelinat ou en famille d’accueil mais ça n’a dans le font aucune importance tout comme mes années lycée. Ce qui compte c’est que j’ai intégré l’école de police dès que j’ai pu et qu’aujourd’hui je fais de mon mieux pour lutter contre le crime organiser mais aussi pour retrouver l’assassin de mes parents. C’est la raison pour laquelle je ne dis jamais non à une mission d’infiltration même lorsqu’elle est dangereuse.