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 bitter are the wars.

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MessageSujet: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptyDim 10 Mai - 14:51




bitter are the wars@yoshimitsu kazuki

Certaines journées sont meilleures que d’autres, plus faciles à traverser et ce soir figure dans le palmarès de ces heures qui épuisent le moral, qui laissent un goût amer au point de simplement désirer la douche suivi d’une bonne nuit de sommeil. Vice cachée de la race humaine, désir mordant qui veut toujours un peu plus. Ébauche crasse de cette clientèle qui se cherche moins que la principale, elle laisse sur l’esprit un voile âpre que tu veux chasser au plus vite afin de passer à autre chose. Peu envie de t’y attarder, d’y songer un instant de plus parce que le travail s’arrête devant la porte de ton appartement et au-delà de celle-ci c’est un autre monde qui t’attend en dépit de la fatigue qui traverse le corps.

Les chaussures s’abandonnent à peine la porte ouverte, clefs jetées sur la table désignée à cet effet à l’entrée. Geste maussade qui attire l’attention de Maisy, queue agitée par bonheur de te voir et tu lui adresses quelques caresses sur le sommet de la tête puisque ce n’est pas de sa faute si tu fais parfois face à des individus désagréables. Elle t’accompagne jusqu’à la cuisine, endroit d’où tu remarques à peine l’invité qui occupe le salon un peu plus loin. Le sourire est poli, sans franchise derrière les traits qui se tirent par automatisme. Trop fatigué pour y mettre le coeur, la main déjà sur le frigo tandis que tu lui tournes le dos à la recherche de l’une des bières précieusement rangées. Alcool débouché sans hésitation, première gorgée avalée la seconde suivante et tu reprends ton chemin en direction de la salle de bain. « ‘m gonna shower. » Indication donnée à la hâte, tu te faufiles dans la pièce sans en fermer complètement la porte. La bière s’abandonne sur le comptoir après en avoir descendu le tier, épluchant les vêtements en vitesse et c’est le jet brûlant de la douche qui t’accueille quand tu poses les pieds sous le pommeau. Tu fermes les yeux, profites de cet instant de tranquillité bien mérité, laissant la chaleur dissiper les tensions comme elle sait si bien le faire. Tes doigts se mêlent à tes cheveux, aidant l'eau à y circuler et il faut un moment avant de sentir ta solitude brisée dans cette pièce. Les promesses de querelle frappent dès que tu ouvres les yeux pour poser ton attention sur Kazuki de l'autre côté de la vitre qui t'en sépare. Le soupire est plus fort que ta volonté à ne pas jeter d'huile sur un feu dont tu ignores l'origine. « What? » 


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MessageSujet: Re: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptySam 16 Mai - 15:10




bitter are the wars@yamada itsuki

Mauvaise journée. De celles qu’il voudrait gommer de sa vie. Une de plus à la longue liste. Rien d’inhabituel pourtant. Et c’est ce qui rend la chose plus triste encore. Kazuki habitué aux mauvaises journées. Aux problèmes. Aux déceptions. Erreur sur erreur, à se demander pourquoi il est sorti du lit aujourd’hui. Il a enchainé. Entre livrer les journaux tôt le matin, trop. Puis jouer au flyer boy. Toujours difficile quand il pleut des cordes et qu’au japon on a l’art d’ignorer. Il s’est fait disputé. Bon à rien. Incapable de distribuer 300 malheureux bouts de papier. L’assurance qu’il n’avait pas besoin de revenir le lendemain. Chat errant, mouillé jusqu’aux os. Il avait pris sur lui Kazuki, mâchoire serrée, les poings tout autant, l’un d’eux terminant dans le mur plutôt que dans le visage de son ancien patron. Phalanges endolories, il avait pris sur lui. Gamin bon à tout faire dans le restaurant où il travaille, les tâches qui s’enchainent et les reproches dans son dos facile. Bon à rien, il l’entend assez. Tellement. Kazuki le bon à rien. Et la colère gronde. Plus encore quand il se rend compte qu’il a loupé le dernier métro, carte suica inutile entre ses doigts, la station fermée qui le nargue. Forcément. L’argent dans ses poches qu’il n’a pas envie de dépenser inutilement, c’est sous une pluie battante qu’il finit par rentrer à l’appartement. Une heure de marche à finir tremper. Glacé. Mauvaise journée. Et l’espoir que la nuit ne soit pas trop mauvaise. L’appartement est vide, une serviette attrapée dans la salle de bain tandis qu’il s’occupe de donner à manger aux animaux. Jazz qui viendra se poser sur ses genoux après sa douche, rapide, brûlante, tandis qu’il a emprunté l’ordinateur d’Itsuki, le sien charge dans la chambre d’ami, plus là pour son travail que pour la détente ou une utilisation personnelle. Il a encore du mal parfois. À utiliser les affaires d’Itsuki, l’impression de déranger. L’impression de n’être que de passage dans l’appartement, jusqu’au moment où il se lassera. Et plus le fait de ne pas avoir de toit, c’est le fait d’avoir le cœur brisé qui l’inquiète. Qu’il ne lui brise pas le cœur, il n’a déjà pas grand chose de beau dans sa vie. Le regard qui se dirige vers la porte d’entrée lorsque Maisy s’y dirige, il a un mince sourire sur les lèvres. Un de ceux qui illuminent son visage. Mais le sourire se fane, comme une fleur sous une pluie qui ne s’arrête pas, le regard à peine croisé, les mots qui se bloquent dans sa gorge tandis qu’il passe Itsuki. Passe sans le voir presque, un sourire affable aux lèvres, comme un automatisme et le frigo qui a sa préférence. Invisible. Invisible sur ce coin de sofa, le chat qui ne lui apporte plus aucun réconfort. Invisible. Il passe Itsuki, des mots lancés en l’air comme pour justifier quoi que ce soit. Et le silence. Le bruit de la douche qui se lève à celle de la pluie. L’impression qu’il est encore dehors Kazuki. Chat errant. Chat dont le carton est délaissé. Et lors qu’il ose timide, se lever, le rejoindre dans la salle d’eau, le soupir est plus bruyant que le bruit de l’eau. Le commentaire plus douloureux qu’il ne le pensait. « Nothing … Hello to you too. » Le ton est amer, la colère mal maitrisée qui revient, remonte dans ses veines, et des supplications de son cœur qu’il se taise qui sont balayées, comme toujours. « Didn’t think I was this transparent, a beautiful useless object in your setting. » 


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MessageSujet: Re: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptyDim 17 Mai - 17:33




bitter are the wars@yoshimitsu kazuki

Exaspération au bord des lèvres, pas même le luxe de prendre une douche en paix chez toi ne peut t’être accordé avant que Kazuki débarque dans un évident besoin de se prendre la tête pour un rien. Qualité exceptionnelle qu'a le plus jeune d'amplifier la moindre situation afin d’en créer quelque chose de bien pire que le veut la réalité. Il est tard, trop tard pour ça et ta patience limitée déjà partie en fumée n’a pas envie de traiter tout ça. L’interrogation agacée quitte ta bouche sans aucun filtre pour la retenir, mot quasiment regretté dans l’immédiat puisque tu sais l’impact qu’il aura dans les secondes à venir. Il a la mèche courte, Kaz, même quand tu ne fais rien pour le provoquer. C'est sans surprise que le drame se dévoile sans accorder de seconde chance et ta main parcours ton visage, essaie de reprendre un peu de contrôle avant de toi aussi chavirer. Rien. Bien sûr que ce n'est rien, que rien ne le dérange, réponse qui vient chercher les entrailles puisque tu connais la suite, qu'il ment à la façon des clichés alors que tu viens à peine de revenir du travail. Ça t’apprendra à ne pas fermer ta porte et la verrouiller quand tu veux obtenir quelques minutes tranquilles. La suite ne se fait pas attendre, profilant des problèmes là où il n'y en a pas comme lui seul sait si bien le faire. « Really, now? » Ton attention s'évade de sa personne, mettant la main sur la bouteille de shampoing puisqu'il te faut bien poursuivre ta routine. Joindre l'utile au désagréable, scande ton esprit fatigué. « You are not a furniture. Can't I come back home and take five minutes alone? » C'est toi qui lui réclame de vivre ici le plus souvent possible, de combler ton espace de vie de sa présence à laquelle tu ne reproches rien, mais tu as des sales habitudes qui demandent parfois de te laisser vaquer à tes propres occupations quelques minutes avant de revenir vers lui. « Are we really gonna have a fight over the fact I didn't say hi? I'm sorry, okay? » Nouvelle manie développée, celle de t’excuser sans forcément le penser ou même savoir en quoi tu es désolé alors que cela n’a que rarement la capacité de calmer ses sautes d’humeur. On se demanderait presque ce qui te retient de le jeter dehors, de mettre un frein au désagréments, mais la réponse est si simple que c’en est révoltant pour quelqu’un comme toi. Pour quelqu’un qui ne garde ses relations qui se comptabilisent en semaines plutôt qu’en mois.


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MessageSujet: Re: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptySam 6 Juin - 12:26




bitter are the wars@yamada itsuki

Il ne demandait pas grand chose. Un regard, un sourire, même un signe. Une main sur son épaule. Quelque chose. Juste quelque chose. Le cœur qui s’est emballé pour cet être, qui s’est amouraché en quelques nuits qui se voulaient sans suite. Mais la colère lui ronge toujours les sens, naturellement. Comme un monstre malingre qui se nourrit de ses émotions. Et Itsuki qui passe. Sans un regard, remarque lancée dans le vide et la silhouette qui s’éloigne, il ne peut qu’avoir le cœur qui se serre Kazuki. Douloureusement. La pluie résonne sourdement contre le vitre, presque autant que le silence. Invisible. Objet de décoration. On s’attend à le voir là, mais on ne lui porte pas d’attention. Itsuki sans un regard pour lui. Plus d’affection pour son chien que pour son petit ami. Non. Et il aimerait bien Kaz’, être capable de refouler cette colère, cette amertume, cette rage qui l’étouffe, qui l’asphyxie. Mais ces sentiments acides semblent toujours gagner. Et après un temps dans le silence. Dans le vide, à regarder cette porte contre, il finit par se lever. L’espoir encore présent qu’il soit accueilli d’un sourire, d’un peu d’affection. Mais le soupir est bruyant. Douloureux. Et le geste timide se retrouve tinté de regrets tandis qu’il s’offusque. Gamin braqué. Et s’il était vraiment un chat, son poil serait hérissé. Mais il n’est qu’un homme, le cœur qui se malmène et le ton à la défensive. Amertume qui gagne. Et la remarque plus acide qu’il ne le voudrait. Objet de décoration. Est-ce qu’il n’est que ça pour Itsuki, c’est à se le demander. Sans doute. Non. Mais il dérange. Itsuki qui a le ton fatigué, et qui lui demande s’il compte lui faire une crise maintenant. Non. Si. Parce que les mots qui s’enchainent le blesse plus qu’il ne le souhaite. « I’m so sorry to bother you. Tell me when I should leave then. » Fiel acerbe, les mots sont cuisants pour cacher la blessure derrière. Il lui donne les clefs. Il lui donne toujours ça Kazuki. Tous les moyens de le mettre à la porte, ce n’est pas si grave ça ; de lui briser le cœur. Non pas encore. « Kinda hypocritical t’say sorry when you don’t even think it. Not even tryin’ to meet my eyes. » Les bras qui se serrent autour de lui, si les mots sont violents, la position n’a rien d’agressive. Au contraire, comme une protection qu’il essaye de se donner, Kazuki il a cette tendance à se battre dans des batailles inutiles. Celles qui sont perdues d’avance. Et il n’a qu’une crainte en vrai, que ces quelques mois s’achèvent, parce qu’il en a sans doute assez Itsuki, et que s’il en vient à sortir cette fois-ci, il ne pourrait pas revenir ici, ni même entre ses bras. Parce que ça sera bel et bien fini. Non. « I didn’t ask a lot … Just some cons’deration. You are my boyfriend … But you didn’t even look at me. »


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MessageSujet: Re: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptyJeu 11 Juin - 23:56




bitter are the wars@yoshimitsu kazuki

C’est un don inné chez Kazuki de mettre feu à ta patience, de venir faire claquer chacun de tes nerfs malgré une volonté à garder ton sang froid puisque tu sais qu’il a la fuite facile. Il excède, puis esquive la situation quand elle prend la direction évidente qui a été semée. Il extrapole, prend une poussière pour une avalanche et te fait regretter dans ces instants l’ouverture à son égard quand tu as cédé à ses beaux yeux. Toujours braqué pour un rien, comme si tu étais son plus grand ennemi alors que cette relation est née de ses mots, de ses interrogations. Tu es attaché à lui, affection précaire construite sur le cours de courts mois, pourtant Kazuki sait quel chemin prendre afin de faire grincer les dents, de te demander si toutes ces histoires de broutilles en valent vraiment la peine et tu préfères te taire que d’en faire la mention. Parce que tu sais que ce serait suffisant pour le faire déguerpir de l’appartement et que tu le regretterais avant même de gagner ton lit. C’est compliqué, trop pour l’heure. Trop pour tes compétences en terme de relations amoureuses. « I don’t want you to leave. » Malgré les querelles, malgré la facilité qu’il a de te faire perdre le peu de patience que tu possèdes, tu détestes davantage le savoir dehors avec rien. Il n’est pas ta responsabilité, mais ça n’écarte pas cet horrible sentiment au fond de ta poitrine quand il joue la carte du fantôme pendant quelques jours et que tu n’as pas la moindre idée de ce qui peut bien lui arriver. Peu importe la dispute, tu préfères toujours le savoir en sécurité sous ton toit. « What do you want me to say? » Si t’excuser n’est pas la bonne réponse, alors tu ne sais pas ce qu’il attend de toi et tu termines ta douche plus rapidement que prévu. Coup de serviette rapide dans les cheveux, tu l’accroches ensuite autour de ta taille avant de mettre les pieds sur le carrelage de la salle de bain et tu poses les yeux sur Kazuki. Un nouveau soupire traverse tes lèvres, nettement différent du premier, roulant légèrement les yeux au passage et approches de lui afin de poser les mains contre ses épaules. « I’ll be more careful. Okay? » Bonne volonté à vouloir éteindre les feux avant qu’ils ne prennent trop d’ampleur, tu crains constamment de ne pas parvenir à fournir la bonne réponse. Trop souvent, avec lui, tu marches sur des oeufs plus que le voudrait une situation normale, saine. Il y a des jours où tu irais dans son sens, où tu te ferais un malin plaisir à poursuivre la chaîne des reproches, mais il est trop tard quand tout ce que tu désires est de trouver position allongée et te reposer.


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MessageSujet: Re: bitter are the wars.   bitter are the wars. EmptyMer 1 Juil - 21:48




bitter are the wars@yamada itsuki

S’il a le don de mettre le feu aux poudres, à la patience des gens, l’élément qui lui convient plus est pourtant aqueux. L’eau comme grande représentante, diverses états possibles, et le garçon qui sait être mer enragée, océan déchainée. Gamin qui prend la vie comme un ennemi. Gamin qui n’a jamais eu trop le choix en fait. Toujours à contre-courant et l’impression qu’on lui prendra ses miettes de bonheur. Ça commence toujours comme ça. Et sa colère qu’il ne sait museler revient toujours à l’assaut, acidité qui ronge ses sens, comme un moyen défensif destructeur. Autodestructeur. Au point que les gens finissent par rendre ses peurs, ses angoisses véridiques. Gamin qui aux yeux de beaucoup n’en vaut pas la peine. Et c’est sans doute le cas. Trop compliqué à gérer. Trop compliqué à aimer. Il se demande à force, si c’est comme ça qu’il le considère Itsuki. Comme une gêne. Comme quelque chose de trop lourd dans son quotidien. Mauvais éclats. Gamin qui s’illustre comme un soleil noir. Éclats de colère, d’hystérie. Comme maintenant. La réalisation qu’il s’est peut-être, sans doute, lassé. Et les mots sont comme du poison. Acide, brûlant ses lèvres tandis qu’il s’excuse. De déranger. Propose. De partir. Décision qu’il lui met entre ses mains, la crainte pourtant qu’il saisisse l’opportunité. Pitié non. Départ refusé, le soulagement est comme un éclat léger dans ses yeux tandis qu’il balaye ses excuses Kazuki. Tempête violente pour cacher les craintes, les blessures derrière. Bras croisés contre son corps, gamin soudainement moins grand, il rappelle à demi-mots, cette évidence, ce qu’ils sont. Boyfriends. Ensemble. Il le rappelle. Qu’il mérite ses regards. Ses attentions. Mais peut-être pas. Et il finit par ne plus rien dire. Aucune réponse lorsqu’Itsuki lui demande ce qu’il doit dire. Il ne sait plus trop Kazuki. Bien conscient de cet amour querelleur qu’il offre à défaut de son cœur. Mains sur ses épaules, et la tête qui se relève, à peine conscient d’avoir baissé ses yeux, d’avoir adopté cette position de défaite. « Sorry … » Excuses à demi-mots. Il voit bien. Qu’il est fatigué Itsuki. Qu’il cherche juste à rendre les armes. Et une partie en lui crie à l’injustice, à l’outrage de devoir s’excuser là où il n’est pas en tort à ses yeux. Mais les mots lourds et cris qui s’étalent jusqu’à l’orée du jour peuvent avoir raison de ce qui les lie. Alors il ravale ses mots assassins. Il ravale ses reproches, le fait qu’il lui fera sans doute la même chose plusieurs fois dans le mois. Il ravale le tout, et le sourire qu’il offre est faux. Fragile. Coins de ses lippes qui s’étirent à peine. Et il repense à la question d’Itsuki, à ce qu’il voudrait qu’il lui dise. Il le sait bien Kazuki. Des mots d’amour. Assurance d’avoir son cœur. D’un sérieux qui va au-dessus de ses insécurités. Mais réclamer des ‘je t’aime’ c’est comme ne pas croire en ce qu’ils ont. C’est comme donner l’arme pour détruire son cœur. « Y’should go to sleep … You seem tired. » Gamin qui s’évade, Kazuki qui baisse de nouveau la tête. Conflit tué sur place, et pourtant toujours ce trop-plein en lui. Jusqu’à l’étouffer.


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