heavenly hands ☼ yuya

heavenly hands

Yuya & Ran
Theme song

Douleur de tous les instants qui ne disparaissait qu'en de rares cas. Quand il se faisait masser. Jamais autrement. Pour tout sportif de haut niveau, c'était presque une évidence, de profiter des services d'un masseur. Quelqu'un de professionnel, qui était capable en quelques mouvements adroits d'apaiser les muscles endoloris, l'épiderme ravagé. Ranmaru poussait son corps par delà la limite, abîmait son outil, se tuait à la tâche. Comme s'il se punissait inconsciemment pour sa stupidité, son étroitesse d'esprit. En en faisant trop. Toujours trop. Ces jours-ci, le jeune homme forçait tout particulièrement. Besoin de se changer les idées, de ne pas penser à tous ces sentiments qui étaient soudainement remontés à la surface. S'il était épuisé, il n'avait pas la force de réfléchir à tout ça. Le problème, c'était que sa pauvre carcasse peinait à suivre le rythme. Après une semaine à courir dans tous les sens, son corps réclamait une accalmie. Ranmaru aurait bien aimé faire la sourde oreille, mais son entraîneur, entre deux beuglements, lui avait donné pour ordre de rendre visite au masseur du club. Pas plus d'information. Juste ces quelques mots en bataille. Aucune envie de s'opposer à celui qui ravivait la lumière de son étoile. Obligé d'obtempérer.

Une chance pour cette pauvre créature encore coincée trop profondément dans le placard, le masseur officiel du club... était une masseuse. Dame d'un certain âge. Ranmaru ne ressentait aucune gêne avec elle. Car c'était une femme. Et qu'il ne ressentait strictement rien pour ce genre là. Alors il pouvait bien être nu, se faire palper dans tous les sens, son cœur restait froid. Calme. Dans une salle attenante au petit spa des Urawa Red Diamonds, on y trouvait de quoi se doucher, se rendre propre pour le confort du spécialiste en massage. Avec toute la sueur qu'il secrétait en un entraînement seulement, c'était une question de respect. Et puis il était plus que désagréable de sentir sa peau toute poisseuse être malaxée et violentée dans tous les sens. Douche rapide, efficace. Talent qu'il avait développé au collège pour passer le moins de temps possible dans les vestiaires avec ses petits camarades. Pour que sa gêne ne soit jamais révélée au grand jour. Une simple serviette autour de la taille, de quoi protéger son intimité. Il était prêt. Prêt à profiter de ce moment détente. Quand bien même il n'en voulait pas. Quand bien même il ne pensait pas mériter un tel traitement. Un tel plaisir.

Décor somptueux. Figurines en tout genre. Tableaux. Sol en bois laqué. La salle de massage de l'équipe était un vrai petit bijou. On s'y sentait bien. Comme si on nageait dans une mer d'or. Quelques brins d'encens déjà se consumaient sur une petite table, créant une atmosphère sensuelle et odorante. Rien à redire là dessus. Ranmaru venait simplement se faire passer. Toutes les fioritures autour, il n'en avait franchement rien à faire. Ce qui était étrange, par contre, c'était que la masseuse habituelle n'était pas là. Habituellement, lorsqu'il pénétrait son antre, elle se tenait toujours là, près de la table, tout sourire. En retard ? Peut-être... Mais difficile à croire quand des flammes rongeaient un peu partout mèches et encens. Un long soupir s'échappa d'entre ses lèvres. Il n'y avait rien à faire. Juste s'allonger sur la table de massage et attendre qu'elle daigne montrer le bout de son nez. La serviette pour seul rempart par dessus ses hanches, Ranmaru ferma les yeux, espérant ne pas tomber dans un profond sommeil. A plat ventre, tête dans un creux, le privant de toute visibilité, le jeune homme n'avait aucune idée de ce qu'il se passait. Et peut-être que c'était mieux ainsi. Car s'il avait vu la personne dans l’entrebâillement de la porte, il se serait sans aucun doute enfui.

Between heaven and hell

Ranmaru & Yuya
Theme song

Mamie t'avais dis que ce serait bien d'aller te former ailleurs pour t'améliorer encore  plus dans les massages. "Je peux plus beaucoup t'apprendre avec mes vieux os" qu'elle disait, mais à coté c'était sûrement car elle voulait regarder ses feuilletons en fumant sa pipe sans avoir un gamin dans ses pattes. Enfin, au moins grâce à ça il avait réussi à se dégoter un petit job d'assistant à Saitama dans un club sportif. C'était un peu loin, mais rien ne te dissuadera d'y aller si ça pouvait te permettre de récolter un peu plus d'argent pour pouvoir remplacer tout ce que vous avez perdu dans le séisme. Par contre, celle pour qui tu devais travailler t'as demandé de prendre le relais pour la journée après avoir reçu un coup de fil urgent chez elle. Ce n'était que ton troisième jour et tu avais à peine eu le temps de te familiariser avec des huiles à massages que tu n'avais vu et te sentant un peu hors de ton élément dans un décor tellement plus professionnel que celui auquel tu étais habitué.

Pourtant ce n'était pas le temps de te perdre dans tes pensées, quelqu'un était entré et ce n'était pas le moment de faire une erreur. Lentement, tu pénètres dans la salle, incertain si tu devais faire savoir si tu étais ta patronne ou pas avant de d'attendre un peu, ne voulant pas déranger son moment de tranquillité par des bavardages incessants. Après les préparatifs nécessaires, le massage peut commencer. Les mains juste assez huilées, tu les passes dans son dos, de bas en haut vers le cœur pour détendre et repérer les zones qui pourraient éventuellement demander plus d'attention. Avec le même rythme lent et soutenu, tu t'occupes tranquillement d'un bras puis de l'autre, t'efforçant de contrer ta nervosité en te concentrant sur la pression à appliquer, te fiant aux éventuelles réactions du jeune homme pour te guider.

Est-ce qu'il y a un endroit où vous voudriez que je porte une attention particulière? Perçant le silence serein qui régnait, ta voix est calme et douce, un ton qu'on n'entends pas souvent en général de ta bouche, alors que tu guides tes mouvements de l'articulation de son pied vers sa cuisse et t'apprêtant à commencer l'autre quand un mouvement attira ton attention.

heavenly hands

Yuya & Ran
Theme song

Bruit de pas du côté de la porte. Impossible de relever la tête, de vérifier que c'était bien la masseuse habituelle qui venait de faire sa grande entrée. Il n'y avait pas de raison que ce soit quelqu'un d'autre. Si ? Ran n'avait pas envisagé cette possibilité, en tout cas. L'esprit préoccupé par bien d'autres choses. Pensées parasites. Sur son avenir. Sa sexualité. Naoki. Tout et n'importe quoi. Tout sauf ce fichu massage. Instant de plaisir qu'il ne voulait pas. Qu'il ne pensait même pas mériter. Syndrome du monstre. Lui qui se pensait trop ignoble pour mériter quoi que ce soit. Il n'avait, au fond, pas tout à fait tort. Tintements divers et variés tout autour de lui. Préparation pour que le massage commence enfin. Rien d'inhabituel. L'athlète n'y connaissait rien, à cet art si obscur. Les huiles, les mouvements, la science derrière tout cela. Cela fonctionnait, alors à quoi bon se questionner inutilement ? Inspiration longue. Pour se délecter du parfum ambiant de la salle. Tentative vaine de s'abandonner à l'instant présent. Envie de s'évanouir, de perdre conscience pour ne plus être torturé par ses pensées. Il était temps. Temps que cette tragédie presque grecque débute enfin. Son corps l'était, en tout cas, grec. Sculpté par les dieux.

Mains se posant enfin contre son corps. Contact étranger, l'huile se répandant contre son épiderme, un peu plus à chaque mouvement. Des mains fermes, puissantes, qui pourraient dénouer sans trop de soucis tous les nœuds qui avaient fleuri ci et là dans son dos. Dans ses cuisses. Partout. Frisson de plaisir, plaisir coupable, alors que la douleur se transformait en bonheur. Plus possible de partir. De se lamenter sur son sort. Technique différente, que lui ne remarquait pas. Personne ne massait pareil. Lignes sinueuses en travers des paumes qui épousaient les courbes différemment selon le masseur. C'était agréable, beaucoup trop agréable. Soupir rauque s'échappant d'entre ses lèvres. Comme si toute la tension accumulée dans le creux de ses épaules, de ses reins, pouvait s'évaporer d'un simple grognement. Presque vrai. La magie du massage. Aux portes de l'effondrement, peut-être que ce moment privilégiée allait lui donner la force nécessaire pour soutenir le poids de ses devoirs, de ses responsabilités. Tout cela était parfait, bien trop parfait. Plus la force de se concentrer sur ses inquiétudes du moment. Objectif réussi. Celui qu'il ne pensait pas accomplir. Plénitude atteindre. Se perdre dans le plaisir. Juste récompense, pour ce corps qui ne méritait pas d'assumer la valse folle qui se jouait dans l'esprit du jeune homme.

Et puis là, le drame. Château de cartes s'écroulant aussitôt ces quelques mots prononcés. Une voix d'homme. Un homme qu'il ne connaissait pas. Et quand bien même il l'aurait reconnu, cela restait... un homme. Yuya avait peut-être choisi le pire moment pour s'annoncer pleinement. Mains au niveau des cuisses, à deux pas de sa virilité. Contact agréable devenant soudainement électrique. Ranmaru avait l'impression d'étouffer. Il avait chaud. Chaud partout. Mais surtout à cet endroit là. Jamais aucun homme n'avait ainsi caresser sa silhouette. Ne lui avait offert autant de plaisir. Tout avait changé, en un claquement de doigt. Tranquilité devenant panique. Plaisir devenant désir. Il en voulait plus, voulait que le masseur appuie toujours plus haut, toujours plus fortement contre son épiderme. Inavouable. - Vous êtes qui ? Simple. Efficace. Entre l'envie de s'enfuir et de rester là, à la merci de Yuya. Mais réagir aussi vivement aurait pu trahir son secret. Obligé d'endurer ce qu'il essayait d'associer à de la « torture ». Ce n'en était pas. Il le sentait là, toujours contre lui. Si proche. Spasme faisant secouer un instant seulement son bassin. Gémissement comme dame de compagnie. Rouge aux joues, qu'il pouvait encore dissimuler, la tête perdue contre la table de massage. - Je ne sais pas... Faites votre travail. Violence teintée de désir. La voix rauque d'envie. Plus. Pitié, plus.

Between heaven and hell

Ranmaru & Yuya
Theme song

Je suis Yuya, le nouvel assistant de madame Takeshi. Sa réaction te ferait rire en temps normal, le voir ainsi réagir sous l'action de tes mains et qui te donnait envie de jouer avec lui de plus en plus, mais il fallait rester professionnel et sérieux si tu voulais garder cet emploi plus longtemps, il faudrait que tu gardes un peu plus de contrôle sur toi-même. Mon travail est de vous soulager, donc s'il y a un endroit en particulier qui vous gêne n'hésitez pas, d'accord? Ton ton reste doux et invitant, comme pour essayer de transmettre le zen ambiant au patient qui semblait s'être un peu tendu sous ses mains. Étrange, pourtant tu n'avais encore rien fait qui pourrait causer ce genre de réaction de la part d'un client ou peut-être étais-tu encore trop habitué à ceux que tu faisais en indépendant.

Encore sur les cuisses, les mains passes sur les côtés des quadriceps pour les détendre, de haut en bas en se donnant des coups de pied mentaux pour ne pas s'approcher trop près de la serviette ou de regarder dessous, se retrouver avec une accusation d'harcèlement serait pas le truc le plus fun après 3 jours au boulot quand même. Détendez vos bras d'accord? Délicatement tu le prends et commence à le travailler de haut en bas. Vous vous échauffer bien avant et après l'entraînement? Quoi? C'est bien de faire la conversation non? Enfin, tu espérais que ça l'aiderait à se détendre un peu quand même.

heavenly hands

Yuya & Ran
Theme song

Le nouvel assistant. Enfer et damnation. Ranmaru avait bien entendu parlé de cette embauche, mais il ne s'était pas imaginé un seul instant se retrouver face à un homme. Cocon protecteur mis à mal par cette surprise. Lui qui peinait habituellement à trouver le temps d'ainsi se perdre au plaisir, ne s'y adonnerait plus. Des excuses, il en trouverait. Hors de question de s'abandonner aux caresses, quand bien même furent-elles professionnelles. Qu'une femme dénoue les nœuds fleurissant tout le long de son corps, soit. Mais il était beaucoup trop dangereux d'autoriser un homme à s'approcher si près de lui. L'athlète avait peur. Était terrifié, même. Un mouvement un peu trop haut, trop puissant, risquait de l’entraîner aux portes de ce paradis qui lui était interdit. La fuite, en cet instant, n'était malheureusement pas possible. Inutile d'éveiller les soupçons. De donner une raison à cet étranger de cancaner. Il fallait endurer. Faire comme si de rien n'était. Unique solution face à ce problème qu'il avait espéré ne jamais rencontrer. L'envie de tout plaquer. Les études. Le foot. Juste se terrer dans son appartement et ne plus voir personne. Liberté aux allures de songe. Son enfer personnel, c'était avant tous les autres.

En théorie, il semblait évident, simple même, de contenir tout ce désir. En pratique, dans le feu de l'action, c'était une toute autre histoire. Ran était en train de perdre la tête. Chaque mouvement que le masseur esquissait lui faisait courber l'échine. Lui faisait ressentir un plaisir sauvage, incontrôlable. Lèvres tentant en vain de rester scellées. Mission impossible. C'était trop... Trop bon. Premier gémissement d'une longue série. Symphonie du désir, de la honte, de l'abandon à l'ivresse du moment. Pensées impures valsant inlassablement dans son esprit. Il en voulait plus. Partout à la fois. Sur lui, en lui. Partout. Il ne savait même pas à quoi cet inconnu ressemblait. Cela n'avait aucune importance. Il aimait la sensation que ses mains lui procuraient. Le timbre de sa voix. Cette pointe de désinvolture qu'il pensait deviner, sans en être trop sûr. Mascarade qui ne tenait plus la route. Tout dans les réactions du jeune homme indiquait à quel point il était transi de désir. Au milieu de cet océan meurtrier, vagues passionnées, ce fût la voix de Yuya qui le tira de la noyade. - Je... Je n'ai pas toujours le temps. De bien m'échauffer. Supplique s'arrêtant au creux de sa gorge. Avant qu'il ne commette l'irréparable. Qu'il le supplie de continuer. N'était-ce pas ce qu'il se devait de faire, de toute façon ? Épiderme rouge écarlate, violenté tout autant par le massage que le plaisir. Poings serrés si fortement que ses phalanges en blanchissaient. Signe de cette tension. Sexuelle ? Peut-être.

Between a rock and a hard place

Ranmaru & Yuya
Theme song

Dépliez vos mains, tout va bien laissez vous aller. Un rien d'amusement dans la voix, il caresse les mains une à une pour les détendre, leur permettre à elles aussi de respirer et de profiter du moment. Ce serait dommage qu'un mec comme vous se blesse, donc faites tout de même attention d'accord? Les mains traversent à nouveau le dos, s'approchant des fossettes de Vénus pour vérifier que le bassin est dénué de nœuds en souriant de ses réactions, de plus en plus intéressé de voir jusqu'où il pourrait étirer tout ça.

Ses mains quittent le corps du joueur pendant quelques instants, prenant le temps de remplacé l'encens consumé et de changer l'huile de ses mains par habitude et ne peut s'empêcher de faire un petit faux pas. C'est rare que je rencontre des gens aussi sensibles que vous, est-ce que c'est pour ça que vous êtes nerveux? C'était plus fort que toi, satisfaire cette curiosité qui te dévorait de l'intérieur dans cette situation si similaire que tu avais l'impression d'avoir déjà vécue avant, peut-être avec un mec trop hétéro à la salle de sport. De toute façon, tout ce qui se passe ici reste entre vous et moi, donc n'ayez pas peur. C'était la moindre des choses que tu pouvais lui offrir et son visage devait être tellement mignon avec ses réaction que tu ne pouvais pas voir, vraiment dommage.

heavenly hands

Yuya & Ran
Theme song

Ran était outré. Que cet étranger le touche d'une telle manière. Lui dise toutes ces âneries. Surtout, qu'il le fasse se sentir si bien. Entre ses mains expertes, l'athlète aurait pu exploser de joie. Souiller la serviette qui protégeait son intimité du reste du monde. De l'indiscrétion du masseur. Il n'avait pas le choix, il était obligé d'obtempérer. Et peut-être que se forcer à suivre les ordres de Yuya l'aiderait à étouffer cet horrible désir qui lui déchirait les entrailles. De quoi maintenir cette odieuse mascarade. Un homme confiant en sa sexualité ne se serait pas ainsi comporté. Pourquoi être anxieux, tendu, quand on avait rien à se reprocher ? Prenant une longue inspiration, le jeune homme se décida enfin à desserrer les poings. Essayant d'offrir une image... Assurée à son interlocuteur. Plus facile à dire qu'à faire. Tout chez lui criait le malaise, la peur. - Un mec comme moi ? C'est à dire ? Vous êtes bizarre... Vous appuyez vraiment trop... Trop fort et... L'envie de lui dire que tout était parfait, qu'il en voulait plus. Toujours plus proche de son intimité. Mais il ne pouvait se le permettre. Dans cette histoire, c'était lui qui paraissait étrange. Ran en avait bien conscience, et il détestait cela.

Quand les mains du masseur arrêtèrent enfin de martyriser son épiderme, le jeune homme eut l'impression de retrouver goût à la vie. Sa respiration se calmait. Son cœur retrouvait un rythme un peu plus régulier. S'il lui était encore difficile de réfléchir, Ran eut presque l'espoir que tout cela était enfin sur le point de s'arrêter. Illusion. Voulait-il vraiment que tout s'arrête ? Non. Certainement pas. - Moi sensible ? MOI ? Vous trouvez que je suis sensible ? C'est des réactions normales, non ? Non ? Voix rauque et impérieuse. Était-ce vraiment une question ? Non, car l'athlète s'attendait à une seule réponse. Qu'il ne le contredise pas. Qu'il ne pointe plus du doigt ce qui clochait. Car quelque chose, de toute évidence, clochait. Opportunité manquée. Lui demander si cette torture s'achevait enfin. Lui faire comprendre que tout devait prendre fin. Mais Ran ne s'en sentait pas capable. Un brasier s'était éveillé au creux de ses reins. Il en voulait plus. Bien plus. Sa raison lui suppliait de fuir, de résister à la tentation mais... pour quoi faire ? Après avoir gémi comme cela, il n'y avait plus de place au doute. - Continuez... S'il vous plait. Ton soudainement métamorphosé. Doux... Presque timide. L'athlète ne réclamait jamais, mais là, c'est exactement ce qu'il faisait.